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MONIQUE FRYDMAN
LES OEUVRES
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Polyptyque
Sassetta
Salon Carré, Musée du Louvre. In situ et détails.
330 x 400 x 150 cm
Cette nouvelle production monumentale s'inspire de l'une des plus importantes commandes du Quattrocento, le Polyptyque de Borgo San Sepolcro (1437-1444) du peintre Sassetta.
"Monique Frydman le reconstitue à sa façon en lui redonnant vie au sens propre, dans sa totalité. Elle se plie à sa construction. L'artiste conserve donc les dimensions, la disposition du retable et des ses prédelles, ainsi que sa bilatéralité, mais elle ne colle pas les deux faces du retable ensemble, comme il se faisait alors. Elle les sépare, laissant découvrir l'ossature de toute la construction. D'autre part, son retable garde la rigidité de ses "tables". C'est un immense tableau d'un seul tenant et morcelé à la fois. Une unique oeuvre picturale mais en 3D, un objet peint sur deux pieds, deux faces d'un même tableau dont il faut faire le tour pour se rendre compte qu'elles sont étroitement liées grâce à une interface dévoilant la structure, une échappée sur les coulisses.". Elisabeth Vedrenne
Copyright : Olivier Ouadah
330 x 400 x 150 cm
Cette nouvelle production monumentale s'inspire de l'une des plus importantes commandes du Quattrocento, le Polyptyque de Borgo San Sepolcro (1437-1444) du peintre Sassetta.
"Monique Frydman le reconstitue à sa façon en lui redonnant vie au sens propre, dans sa totalité. Elle se plie à sa construction. L'artiste conserve donc les dimensions, la disposition du retable et des ses prédelles, ainsi que sa bilatéralité, mais elle ne colle pas les deux faces du retable ensemble, comme il se faisait alors. Elle les sépare, laissant découvrir l'ossature de toute la construction. D'autre part, son retable garde la rigidité de ses "tables". C'est un immense tableau d'un seul tenant et morcelé à la fois. Une unique oeuvre picturale mais en 3D, un objet peint sur deux pieds, deux faces d'un même tableau dont il faut faire le tour pour se rendre compte qu'elles sont étroitement liées grâce à une interface dévoilant la structure, une échappée sur les coulisses.". Elisabeth Vedrenne
Copyright : Olivier Ouadah
Polyptyque Sassetta Détail
Salon Carré, Musée du Louvre. In situ et détails
2013
330 x 400 x 150 cm
Cette nouvelle production monumentale s'inspire de l'une des plus importantes commandes du Quattrocento, le Polyptyque de Borgo San Sepolcro (1437-1444) du peintre Sassetta.
"Monique Frydman le reconstitue à sa façon en lui redonnant vie au sens propre, dans sa totalité. Elle se plie à sa construction. L'artiste conserve donc les dimensions, la disposition du retable et des ses prédelles, ainsi que sa bilatéralité, mais elle ne colle pas les deux faces du retable ensemble, comme il se faisait alors. Elle les sépare, laissant découvrir l'ossature de toute la construction. D'autre part, son retable garde la rigidité de ses "tables". C'est un immense tableau d'un seul tenant et morcelé à la fois. Une unique oeuvre picturale mais en 3D, un objet peint sur deux pieds, deux faces d'un même tableau dont il faut faire le tour pour se rendre compte qu'elles sont étroitement liées grâce à une interface dévoilant la structure, une échappée sur les coulisses.". Elisabeth Vedrenne.
Copyright : Olivier Ouadah
2013
330 x 400 x 150 cm
Cette nouvelle production monumentale s'inspire de l'une des plus importantes commandes du Quattrocento, le Polyptyque de Borgo San Sepolcro (1437-1444) du peintre Sassetta.
"Monique Frydman le reconstitue à sa façon en lui redonnant vie au sens propre, dans sa totalité. Elle se plie à sa construction. L'artiste conserve donc les dimensions, la disposition du retable et des ses prédelles, ainsi que sa bilatéralité, mais elle ne colle pas les deux faces du retable ensemble, comme il se faisait alors. Elle les sépare, laissant découvrir l'ossature de toute la construction. D'autre part, son retable garde la rigidité de ses "tables". C'est un immense tableau d'un seul tenant et morcelé à la fois. Une unique oeuvre picturale mais en 3D, un objet peint sur deux pieds, deux faces d'un même tableau dont il faut faire le tour pour se rendre compte qu'elles sont étroitement liées grâce à une interface dévoilant la structure, une échappée sur les coulisses.". Elisabeth Vedrenne.
Copyright : Olivier Ouadah
Polyptyque Sasseta
Salon Carré, Musée du Louvre. In situ et détails
2013
330 x 400 x 150 cm
Cette nouvelle production monumentale s'inspire de l'une des plus importantes commandes du Quattrocento, le Polyptyque de Borgo San Sepolcro (1437-1444) du peintre Sassetta.
"Monique Frydman le reconstitue à sa façon en lui redonnant vie au sens propre, dans sa totalité. Elle se plie à sa construction. L'artiste conserve donc les dimensions, la disposition du retable et des ses prédelles, ainsi que sa bilatéralité, mais elle ne colle pas les deux faces du retable ensemble, comme il se faisait alors. Elle les sépare, laissant découvrir l'ossature de toute la construction. D'autre part, son retable garde la rigidité de ses "tables". C'est un immense tableau d'un seul tenant et morcelé à la fois. Une unique oeuvre picturale mais en 3D, un objet peint sur deux pieds, deux faces d'un même tableau dont il faut faire le tour pour se rendre compte qu'elles sont étroitement liées grâce à une interface dévoilant la structure, une échappée sur les coulisses.". Elisabeth Vedrenne.
Copyright : Olivier Ouadah
2013
330 x 400 x 150 cm
Cette nouvelle production monumentale s'inspire de l'une des plus importantes commandes du Quattrocento, le Polyptyque de Borgo San Sepolcro (1437-1444) du peintre Sassetta.
"Monique Frydman le reconstitue à sa façon en lui redonnant vie au sens propre, dans sa totalité. Elle se plie à sa construction. L'artiste conserve donc les dimensions, la disposition du retable et des ses prédelles, ainsi que sa bilatéralité, mais elle ne colle pas les deux faces du retable ensemble, comme il se faisait alors. Elle les sépare, laissant découvrir l'ossature de toute la construction. D'autre part, son retable garde la rigidité de ses "tables". C'est un immense tableau d'un seul tenant et morcelé à la fois. Une unique oeuvre picturale mais en 3D, un objet peint sur deux pieds, deux faces d'un même tableau dont il faut faire le tour pour se rendre compte qu'elles sont étroitement liées grâce à une interface dévoilant la structure, une échappée sur les coulisses.". Elisabeth Vedrenne.
Copyright : Olivier Ouadah
Les Dames de Nage II, 3
1994
300 x 200 cm
Coll. Fond national d'art contemporain
Monique Frydman installe de façon complètement aléatoire, sur le sol de son atelier des cordes de toutes sorte, pose la toile humidifiée dessus, en fait le relevé à l’aide de fusain ou de pastels en blocs. Les lignes qui se dessinent la préoccupent peu, elle expérimente toutes les subtilités qui se dégagent de ce processus, reconduit ce travail, conservant la part du hasard et reproduisant chaque étape. La main est libérée de tout souci de faire sens et malgré les ruses du hasard et les divers subterfuges l’artiste voit dans ses lignes s’exprimer un langage très privé et secret.
Voilà l’histoire des dames de nage.
Copyright Konstantinos Igniatadis
300 x 200 cm
Coll. Fond national d'art contemporain
Monique Frydman installe de façon complètement aléatoire, sur le sol de son atelier des cordes de toutes sorte, pose la toile humidifiée dessus, en fait le relevé à l’aide de fusain ou de pastels en blocs. Les lignes qui se dessinent la préoccupent peu, elle expérimente toutes les subtilités qui se dégagent de ce processus, reconduit ce travail, conservant la part du hasard et reproduisant chaque étape. La main est libérée de tout souci de faire sens et malgré les ruses du hasard et les divers subterfuges l’artiste voit dans ses lignes s’exprimer un langage très privé et secret.
Voilà l’histoire des dames de nage.
Copyright Konstantinos Igniatadis
Les Dames de Nage II, 4
1995
300 x 200 cm
Coll. Musée des Beaux Arts de Caen.
Monique Frydman installs ropes of all kinds on the floor of her studio in a completely random fashion, places the dampened canvas on top and sketches it out using charcoal or block pastels. The lines that emerge are of little concern to her, and she experiments with all the subtleties that emerge from this process, repeating the work, retaining the element of chance and reproducing each stage. The hand is freed from any concern to make sense, and despite the tricks of chance and the various subterfuges, the artist sees in her lines the expression of a very private and secret language.
This is the story of the ladies' swim.
Copyright Konstantinos Igniatadis
300 x 200 cm
Coll. Musée des Beaux Arts de Caen.
Monique Frydman installs ropes of all kinds on the floor of her studio in a completely random fashion, places the dampened canvas on top and sketches it out using charcoal or block pastels. The lines that emerge are of little concern to her, and she experiments with all the subtleties that emerge from this process, repeating the work, retaining the element of chance and reproducing each stage. The hand is freed from any concern to make sense, and despite the tricks of chance and the various subterfuges, the artist sees in her lines the expression of a very private and secret language.
This is the story of the ladies' swim.
Copyright Konstantinos Igniatadis
Les Dames de Nage I, 2
1995
218 x 203 cm
Coll. Frac Ile de France.
Monique Frydman installs ropes of all kinds on the floor of her studio in a completely random fashion, places the dampened canvas on top and sketches it out using charcoal or block pastels. The lines that emerge are of little concern to her, and she experiments with all the subtleties that emerge from this process, repeating the work, retaining the element of chance and reproducing each stage. The hand is freed from any concern to make sense, and despite the tricks of chance and the various subterfuges, the artist sees in her lines the expression of a very private and secret language.
This is the story of the ladies' swim.
Copyright Konstantinos Igniatadis
218 x 203 cm
Coll. Frac Ile de France.
Monique Frydman installs ropes of all kinds on the floor of her studio in a completely random fashion, places the dampened canvas on top and sketches it out using charcoal or block pastels. The lines that emerge are of little concern to her, and she experiments with all the subtleties that emerge from this process, repeating the work, retaining the element of chance and reproducing each stage. The hand is freed from any concern to make sense, and despite the tricks of chance and the various subterfuges, the artist sees in her lines the expression of a very private and secret language.
This is the story of the ladies' swim.
Copyright Konstantinos Igniatadis
Les Sombres 4
1998
198 x 192 cm
Fusain et pastels sur toile de lin
Coll. MAC/VAL.
« Les Sombres, elles, ne consacrent aucune couleur, quelques écarts de valeurs sans doute, mais diffus et comme noyés en un tour elliptique. Les Sombres : c’est ainsi que Monique Frydman désigne ses dernières toiles, collectivement, comme les précédentes dames de nage, suite qui forment alors explicitement un corpus. Le même « stratagème » s’y trouve reconduit, de la couleur comme accident du relief : relevé à même le sol d’une jonchée de cordes à l’envers du support, l’artiste usant de la toile libre comme interface. »
Stéphane André.
Copyright Konstantinos Igniatadis
198 x 192 cm
Fusain et pastels sur toile de lin
Coll. MAC/VAL.
« Les Sombres, elles, ne consacrent aucune couleur, quelques écarts de valeurs sans doute, mais diffus et comme noyés en un tour elliptique. Les Sombres : c’est ainsi que Monique Frydman désigne ses dernières toiles, collectivement, comme les précédentes dames de nage, suite qui forment alors explicitement un corpus. Le même « stratagème » s’y trouve reconduit, de la couleur comme accident du relief : relevé à même le sol d’une jonchée de cordes à l’envers du support, l’artiste usant de la toile libre comme interface. »
Stéphane André.
Copyright Konstantinos Igniatadis
Les Sombres 7
1998
194 x 190 cm
Fusain et pastels sur toile de lin
Fond National d'Art Contemporain
« Les Sombres, elles, ne consacrent aucune couleur, quelques écarts de valeurs sans doute, mais diffus et comme noyés en un tour elliptique. Les Sombres : c’est ainsi que Monique Frydman désigne ses dernières toiles, collectivement, comme les précédentes dames de nage, suite qui forment alors explicitement un corpus. Le même « stratagème » s’y trouve reconduit, de la couleur comme accident du relief : relevé à même le sol d’une jonchée de cordes à l’envers du support, l’artiste usant de la toile libre comme interface. »
Stéphane André.
Copyright Konstantinos Igniatadis
194 x 190 cm
Fusain et pastels sur toile de lin
Fond National d'Art Contemporain
« Les Sombres, elles, ne consacrent aucune couleur, quelques écarts de valeurs sans doute, mais diffus et comme noyés en un tour elliptique. Les Sombres : c’est ainsi que Monique Frydman désigne ses dernières toiles, collectivement, comme les précédentes dames de nage, suite qui forment alors explicitement un corpus. Le même « stratagème » s’y trouve reconduit, de la couleur comme accident du relief : relevé à même le sol d’une jonchée de cordes à l’envers du support, l’artiste usant de la toile libre comme interface. »
Stéphane André.
Copyright Konstantinos Igniatadis
Les Sombres 11
1998
195 x 138 cm
Fusain et pastels sur toile de lin
« Les Sombres, elles, ne consacrent aucune couleur, quelques écarts de valeurs sans doute, mais diffus et comme noyés en un tour elliptique. Les Sombres : c’est ainsi que Monique Frydman désigne ses dernières toiles, collectivement, comme les précédentes dames de nage, suite qui forment alors explicitement un corpus. Le même « stratagème » s’y trouve reconduit, de la couleur comme accident du relief : relevé à même le sol d’une jonchée de cordes à l’envers du support, l’artiste usant de la toile libre comme interface. »
Stéphane André.
Copyright Konstantinos Igniatadis
195 x 138 cm
Fusain et pastels sur toile de lin
« Les Sombres, elles, ne consacrent aucune couleur, quelques écarts de valeurs sans doute, mais diffus et comme noyés en un tour elliptique. Les Sombres : c’est ainsi que Monique Frydman désigne ses dernières toiles, collectivement, comme les précédentes dames de nage, suite qui forment alors explicitement un corpus. Le même « stratagème » s’y trouve reconduit, de la couleur comme accident du relief : relevé à même le sol d’une jonchée de cordes à l’envers du support, l’artiste usant de la toile libre comme interface. »
Stéphane André.
Copyright Konstantinos Igniatadis
Violet 6
1993
195 x 290 cm
Galerie J. Elbaz
« De la couleur-pensée. Être quelque chose de singulier, telle couleur, -ici le violet-, organiser des visions comme les multiples possibles de la mémoire et de la forme, recueillir le ton de l’être, définit au départ la manière péremptoire de la couleur-pensée. Celle qui traverse tout le travail de Monique Frydman. »
Christine Buci-Glucksmann.
Copyright : Konstantinos Igniatadis
195 x 290 cm
Galerie J. Elbaz
« De la couleur-pensée. Être quelque chose de singulier, telle couleur, -ici le violet-, organiser des visions comme les multiples possibles de la mémoire et de la forme, recueillir le ton de l’être, définit au départ la manière péremptoire de la couleur-pensée. Celle qui traverse tout le travail de Monique Frydman. »
Christine Buci-Glucksmann.
Copyright : Konstantinos Igniatadis
Violet 3
2002
180 x 175 cm
« De la couleur-pensée. Être quelque chose de singulier, telle couleur, -ici le violet-, organiser des visions comme les multiples possibles de la mémoire et de la forme, recueillir le ton de l’être, définit au départ la manière péremptoire de la couleur-pensée. Celle qui traverse tout le travail de Monique Frydman. »
Christine Buci-Glucksmann.
Copyright : Konstantinos Igniatadis.
180 x 175 cm
« De la couleur-pensée. Être quelque chose de singulier, telle couleur, -ici le violet-, organiser des visions comme les multiples possibles de la mémoire et de la forme, recueillir le ton de l’être, définit au départ la manière péremptoire de la couleur-pensée. Celle qui traverse tout le travail de Monique Frydman. »
Christine Buci-Glucksmann.
Copyright : Konstantinos Igniatadis.
Violet
2001
165 x 167 cm
« De la couleur-pensée. Être quelque chose de singulier, telle couleur, -ici le violet-, organiser des visions comme les multiples possibles de la mémoire et de la forme, recueillir le ton de l’être, définit au départ la manière péremptoire de la couleur-pensée. Celle qui traverse tout le travail de Monique Frydman. »
Christine Buci-Glucksmann.
Copyright Konstantinos Igniatadis
165 x 167 cm
« De la couleur-pensée. Être quelque chose de singulier, telle couleur, -ici le violet-, organiser des visions comme les multiples possibles de la mémoire et de la forme, recueillir le ton de l’être, définit au départ la manière péremptoire de la couleur-pensée. Celle qui traverse tout le travail de Monique Frydman. »
Christine Buci-Glucksmann.
Copyright Konstantinos Igniatadis
Les Révélés 6
2000
192 x 151 cm
« Dans une série précédente, Les sombres, l'artiste avait découpé des gabarits (terme qu'elle préfère à celui de pochoir) selon les lignes sinueuses déterminées par la chute d'une corde sur le sol… La série intitulée Révélé reste fidèle au principe de formes fixées au moyen d'un gabarit mais n'a plus recours à la corde… L'extrême réduction du vocabulaire formel et le jeu des combinaisons n'apparentent-ils pas cette peinture à un alphabet? Chaque tableau est un état particulier d'associations, permutations, assemblages de formes qui en font l'expression singulière d’un corpus clos composé des deux ou trois gabarits utilisés de manière récurrente. Comme pour un texte kabbalistique il est tentant de voir dans ce dispositif singulier une manière de… Karim Ghaddab."
Copyright : Konstantinos Igniatadis
192 x 151 cm
« Dans une série précédente, Les sombres, l'artiste avait découpé des gabarits (terme qu'elle préfère à celui de pochoir) selon les lignes sinueuses déterminées par la chute d'une corde sur le sol… La série intitulée Révélé reste fidèle au principe de formes fixées au moyen d'un gabarit mais n'a plus recours à la corde… L'extrême réduction du vocabulaire formel et le jeu des combinaisons n'apparentent-ils pas cette peinture à un alphabet? Chaque tableau est un état particulier d'associations, permutations, assemblages de formes qui en font l'expression singulière d’un corpus clos composé des deux ou trois gabarits utilisés de manière récurrente. Comme pour un texte kabbalistique il est tentant de voir dans ce dispositif singulier une manière de… Karim Ghaddab."
Copyright : Konstantinos Igniatadis
Les Révélés 7
2000
175 x 160 cm
Coll. Privée
« Dans une série précédente, Les sombres, l'artiste avait découpé des gabarits (terme qu'elle préfère à celui de pochoir) selon les lignes sinueuses déterminées par la chute d'une corde sur le sol… La série intitulée Révélé reste fidèle au principe de formes fixées au moyen d'un gabarit mais n'a plus recours à la corde… L'extrême réduction du vocabulaire formel et le jeu des combinaisons n'apparentent-ils pas cette peinture à un alphabet? Chaque tableau est un état particulier d'associations, permutations, assemblages de formes qui en font l'expression singulière d’un corpus clos composé des deux ou trois gabarits utilisés de manière récurrente. Comme pour un texte kabbalistique il est tentant de voir dans ce dispositif singulier une manière de…. Karim Ghaddab."
Copyright : Konstantinos Igniatadis
175 x 160 cm
Coll. Privée
« Dans une série précédente, Les sombres, l'artiste avait découpé des gabarits (terme qu'elle préfère à celui de pochoir) selon les lignes sinueuses déterminées par la chute d'une corde sur le sol… La série intitulée Révélé reste fidèle au principe de formes fixées au moyen d'un gabarit mais n'a plus recours à la corde… L'extrême réduction du vocabulaire formel et le jeu des combinaisons n'apparentent-ils pas cette peinture à un alphabet? Chaque tableau est un état particulier d'associations, permutations, assemblages de formes qui en font l'expression singulière d’un corpus clos composé des deux ou trois gabarits utilisés de manière récurrente. Comme pour un texte kabbalistique il est tentant de voir dans ce dispositif singulier une manière de…. Karim Ghaddab."
Copyright : Konstantinos Igniatadis
Les Révélés 9
2001
185 x 167 cm
« Dans une série précédente, Les sombres, l'artiste avait découpé des gabarits (terme qu'elle préfère à celui de pochoir) selon les lignes sinueuses déterminées par la chute d'une corde sur le sol… La série intitulée Révélé reste fidèle au principe de formes fixées au moyen d'un gabarit mais n'a plus recours à la corde… L'extrême réduction du vocabulaire formel et le jeu des combinaisons n'apparentent-ils pas cette peinture à un alphabet? Chaque tableau est un état particulier d'associations, permutations, assemblages de formes qui en font l'expression singulière d’un corpus clos composé des deux ou trois gabarits utilisés de manière récurrente. Comme pour un texte kabbalistique il est tentant de voir dans ce dispositif singulier une manière de…. Karim Ghaddab."
Copyright Konstantinos Igniatadis.
185 x 167 cm
« Dans une série précédente, Les sombres, l'artiste avait découpé des gabarits (terme qu'elle préfère à celui de pochoir) selon les lignes sinueuses déterminées par la chute d'une corde sur le sol… La série intitulée Révélé reste fidèle au principe de formes fixées au moyen d'un gabarit mais n'a plus recours à la corde… L'extrême réduction du vocabulaire formel et le jeu des combinaisons n'apparentent-ils pas cette peinture à un alphabet? Chaque tableau est un état particulier d'associations, permutations, assemblages de formes qui en font l'expression singulière d’un corpus clos composé des deux ou trois gabarits utilisés de manière récurrente. Comme pour un texte kabbalistique il est tentant de voir dans ce dispositif singulier une manière de…. Karim Ghaddab."
Copyright Konstantinos Igniatadis.
Les Éclats • Amarante
2004
250 x 250 cm
Coll. 21st Century Museum of Contemporary Art, Kanazawa, Japon
Il faut que la couleur arrive après un cheminement, qu’elle traverse la toile comme s’il s’agissait d’un support poreux. C’est pourquoi la toile est humidifiée pour être perméable. La couleur monte par frottement du pigment (poudre ou pastel)sur ce qui fait empreinte. C’est la couleur dans son expansion qui nous fait rentrer dans un espace illimité. La rigueur du format carré et son ampleur (250x 250 cm) permet de poursuivre la série des Lignées en accentuant paradoxalement la force du détail et la subtilité d’une apparente monochromie.
Copyright Ana Drittanti.
250 x 250 cm
Coll. 21st Century Museum of Contemporary Art, Kanazawa, Japon
Il faut que la couleur arrive après un cheminement, qu’elle traverse la toile comme s’il s’agissait d’un support poreux. C’est pourquoi la toile est humidifiée pour être perméable. La couleur monte par frottement du pigment (poudre ou pastel)sur ce qui fait empreinte. C’est la couleur dans son expansion qui nous fait rentrer dans un espace illimité. La rigueur du format carré et son ampleur (250x 250 cm) permet de poursuivre la série des Lignées en accentuant paradoxalement la force du détail et la subtilité d’une apparente monochromie.
Copyright Ana Drittanti.
Les Éclats • Le Triptyque noir
2004
250 x 750 cm
Coll. Pinault Fondation.
The colour has to come through the canvas as if it were a porous support. This is why the canvas is moistened to make it permeable. The colour rises as the pigment (powder or pastel) rubs against the imprint. It is the expansion of colour that takes us into an unlimited space. The rigour of the square format and its size (250 x 250 cm) makes it possible to continue the series, paradoxically accentuating the strength of detail and the subtlety of an apparent monochrome.
Copyright Ana Drittanti.
250 x 750 cm
Coll. Pinault Fondation.
The colour has to come through the canvas as if it were a porous support. This is why the canvas is moistened to make it permeable. The colour rises as the pigment (powder or pastel) rubs against the imprint. It is the expansion of colour that takes us into an unlimited space. The rigour of the square format and its size (250 x 250 cm) makes it possible to continue the series, paradoxically accentuating the strength of detail and the subtlety of an apparent monochrome.
Copyright Ana Drittanti.
Les Éclats • La Rouge Cardée
2004
250 x 750 cm
Coll. Centre Pompidou Musée d’Art moderne et Contemporain.
The colour has to come through the canvas as if it were a porous support. This is why the canvas is moistened to make it permeable. The colour rises as the pigment (powder or pastel) rubs against the imprint. It is the expansion of colour that takes us into an unlimited space. The rigour of the square format and its size (250 x 250 cm) makes it possible to continue the series, paradoxically accentuating the strength of detail and the subtlety of an apparent monochrome.
Copyright Ana Drittanti.
250 x 750 cm
Coll. Centre Pompidou Musée d’Art moderne et Contemporain.
The colour has to come through the canvas as if it were a porous support. This is why the canvas is moistened to make it permeable. The colour rises as the pigment (powder or pastel) rubs against the imprint. It is the expansion of colour that takes us into an unlimited space. The rigour of the square format and its size (250 x 250 cm) makes it possible to continue the series, paradoxically accentuating the strength of detail and the subtlety of an apparent monochrome.
Copyright Ana Drittanti.
Calcaire I
2007
250 x 250 cm.
Coll. Fonds national d’art contemporain.
La série des tableaux blancs Calcaire reflète une exigence de dépouillement et de retrait.
Si l’artiste se tourne cette fois vers la couleur blanche et sa radicalité, c’est pour mieux poursuivre sa quête de l’essentiel. « Le regard, notre regard est brûlé par l’excès d’images. A trop voir, nos yeux sont aveugles. » Elle précise « Le blanc c’est l’âme de la craie. ».
Copyright : Konstantinos Igniatadis
250 x 250 cm.
Coll. Fonds national d’art contemporain.
La série des tableaux blancs Calcaire reflète une exigence de dépouillement et de retrait.
Si l’artiste se tourne cette fois vers la couleur blanche et sa radicalité, c’est pour mieux poursuivre sa quête de l’essentiel. « Le regard, notre regard est brûlé par l’excès d’images. A trop voir, nos yeux sont aveugles. » Elle précise « Le blanc c’est l’âme de la craie. ».
Copyright : Konstantinos Igniatadis
Calcaire II
2007
250 x 750 cm.
La série des tableaux blancs Calcaire reflète une exigence de dépouillement et de retrait.
Si l’artiste se tourne cette fois vers la couleur blanche et sa radicalité, c’est pour mieux poursuivre sa quête de l’essentiel. « Le regard, notre regard est brûlé par l’excès d’images. A trop voir, nos yeux sont aveugles. » Elle précise « Le blanc c’est l’âme de la craie. ».
Copyright : Konstantinos Igniatadis
250 x 750 cm.
La série des tableaux blancs Calcaire reflète une exigence de dépouillement et de retrait.
Si l’artiste se tourne cette fois vers la couleur blanche et sa radicalité, c’est pour mieux poursuivre sa quête de l’essentiel. « Le regard, notre regard est brûlé par l’excès d’images. A trop voir, nos yeux sont aveugles. » Elle précise « Le blanc c’est l’âme de la craie. ».
Copyright : Konstantinos Igniatadis
Calcaire III
2007
250 x 250 cm.
La série des tableaux blancs Calcaire reflète une exigence de dépouillement et de retrait.
Si l’artiste se tourne cette fois vers la couleur blanche et sa radicalité, c’est pour mieux poursuivre sa quête de l’essentiel. « Le regard, notre regard est brûlé par l’excès d’images. A trop voir, nos yeux sont aveugles. » Elle précise « Le blanc c’est l’âme de la craie. ».
Copyright : Konstantinos Igniatadis
250 x 250 cm.
La série des tableaux blancs Calcaire reflète une exigence de dépouillement et de retrait.
Si l’artiste se tourne cette fois vers la couleur blanche et sa radicalité, c’est pour mieux poursuivre sa quête de l’essentiel. « Le regard, notre regard est brûlé par l’excès d’images. A trop voir, nos yeux sont aveugles. » Elle précise « Le blanc c’est l’âme de la craie. ».
Copyright : Konstantinos Igniatadis
Des Saisons avec Bonnard 1
2009-2010
Pigments et liant sur toile de lin
130 x 97 cm
Pourquoi Des saisons avec Bonnard ? Parce que l'œuvre de Bonnard me touche infiniment. Il y a le bonheur chez Bonnard, mais c'est un bonheur fragile et fugace dans le regard émouvant qu'il pose sur ce qui l'entoure et sur lui-même. Dans ses cahiers, tous les matins, Bonnard porte une annotation très simple, très modeste, sur la couleur du ciel et sur ce qui l'entoure. Cette série de tableaux Des saisons avec Bonnard parle des saisons mais aussi de la couleur. C'est par superposition, mais dans la légèreté, comme une aquarelle, que la couleur, dessus dessous, se modifie. C'est ainsi que j'ai voulu aborder le recroisement des couleurs, comme si, c'était les damiers d'un morceau de nappe, de mosaïque, que je peux voir dans les tableaux de Bonnard …
Copyright : F. Kleinefenn
Pigments et liant sur toile de lin
130 x 97 cm
Pourquoi Des saisons avec Bonnard ? Parce que l'œuvre de Bonnard me touche infiniment. Il y a le bonheur chez Bonnard, mais c'est un bonheur fragile et fugace dans le regard émouvant qu'il pose sur ce qui l'entoure et sur lui-même. Dans ses cahiers, tous les matins, Bonnard porte une annotation très simple, très modeste, sur la couleur du ciel et sur ce qui l'entoure. Cette série de tableaux Des saisons avec Bonnard parle des saisons mais aussi de la couleur. C'est par superposition, mais dans la légèreté, comme une aquarelle, que la couleur, dessus dessous, se modifie. C'est ainsi que j'ai voulu aborder le recroisement des couleurs, comme si, c'était les damiers d'un morceau de nappe, de mosaïque, que je peux voir dans les tableaux de Bonnard …
Copyright : F. Kleinefenn
Des Saisons avec Bonnard 2
2009-2010
Pigments et liant sur toile de lin
130 x 97 cm
Pourquoi Des saisons avec Bonnard ? Parce que l'œuvre de Bonnard me touche infiniment. Il y a le bonheur chez Bonnard, mais c'est un bonheur fragile et fugace dans le regard émouvant qu'il pose sur ce qui l'entoure et sur lui-même. Dans ses cahiers, tous les matins, Bonnard porte une annotation très simple, très modeste, sur la couleur du ciel et sur ce qui l'entoure. Cette série de tableaux Des saisons avec Bonnard parle des saisons mais aussi de la couleur. C'est par superposition, mais dans la légèreté, comme une aquarelle, que la couleur, dessus dessous, se modifie. C'est ainsi que j'ai voulu aborder le recroisement des couleurs, comme si, c'était les damiers d'un morceau de nappe, de mosaïque, que je peux voir dans les tableaux de Bonnard …
Copyright : F. Kleinefenn
Pigments et liant sur toile de lin
130 x 97 cm
Pourquoi Des saisons avec Bonnard ? Parce que l'œuvre de Bonnard me touche infiniment. Il y a le bonheur chez Bonnard, mais c'est un bonheur fragile et fugace dans le regard émouvant qu'il pose sur ce qui l'entoure et sur lui-même. Dans ses cahiers, tous les matins, Bonnard porte une annotation très simple, très modeste, sur la couleur du ciel et sur ce qui l'entoure. Cette série de tableaux Des saisons avec Bonnard parle des saisons mais aussi de la couleur. C'est par superposition, mais dans la légèreté, comme une aquarelle, que la couleur, dessus dessous, se modifie. C'est ainsi que j'ai voulu aborder le recroisement des couleurs, comme si, c'était les damiers d'un morceau de nappe, de mosaïque, que je peux voir dans les tableaux de Bonnard …
Copyright : F. Kleinefenn
Des Saisons avec Bonnard 5
2009-2010
Pigments et liant sur toile de lin
130 x 97 cm
Pourquoi Des saisons avec Bonnard ? Parce que l'œuvre de Bonnard me touche infiniment. Il y a le bonheur chez Bonnard, mais c'est un bonheur fragile et fugace dans le regard émouvant qu'il pose sur ce qui l'entoure et sur lui-même. Dans ses cahiers, tous les matins, Bonnard porte une annotation très simple, très modeste, sur la couleur du ciel et sur ce qui l'entoure. Cette série de tableaux Des saisons avec Bonnard parle des saisons mais aussi de la couleur. C'est par superposition, mais dans la légèreté, comme une aquarelle, que la couleur, dessus dessous, se modifie. C'est ainsi que j'ai voulu aborder le recroisement des couleurs, comme si, c'était les damiers d'un morceau de nappe, de mosaïque, que je peux voir dans les tableaux de Bonnard …
Copyright : F. Kleinefenn
Pigments et liant sur toile de lin
130 x 97 cm
Pourquoi Des saisons avec Bonnard ? Parce que l'œuvre de Bonnard me touche infiniment. Il y a le bonheur chez Bonnard, mais c'est un bonheur fragile et fugace dans le regard émouvant qu'il pose sur ce qui l'entoure et sur lui-même. Dans ses cahiers, tous les matins, Bonnard porte une annotation très simple, très modeste, sur la couleur du ciel et sur ce qui l'entoure. Cette série de tableaux Des saisons avec Bonnard parle des saisons mais aussi de la couleur. C'est par superposition, mais dans la légèreté, comme une aquarelle, que la couleur, dessus dessous, se modifie. C'est ainsi que j'ai voulu aborder le recroisement des couleurs, comme si, c'était les damiers d'un morceau de nappe, de mosaïque, que je peux voir dans les tableaux de Bonnard …
Copyright : F. Kleinefenn
In the Golden Light 3
2016
Pastels sur toile de lin
172 x 173 cm
Tel Aviv Museum of Art
"I meditate upon a swalow's fligth." (J. B. Yeats)
11 tableaux. Le geste est déployé et affirmé dans une palette exaltée de couleurs lumineuses et profondes de la fin de l'été.
Dans la continuité de l'oeuvre de Monique Frydman, cette série de tableaux s'inscrit plus particulièrement dans l'histoire en peinture du paysage : le paysage intérieur de l'artiste, mais aussi celui qui par la verrière de son atelier nourrit « ses sensations colorantes ».
Copyright : Ana Drittanti
Pastels sur toile de lin
172 x 173 cm
Tel Aviv Museum of Art
"I meditate upon a swalow's fligth." (J. B. Yeats)
11 tableaux. Le geste est déployé et affirmé dans une palette exaltée de couleurs lumineuses et profondes de la fin de l'été.
Dans la continuité de l'oeuvre de Monique Frydman, cette série de tableaux s'inscrit plus particulièrement dans l'histoire en peinture du paysage : le paysage intérieur de l'artiste, mais aussi celui qui par la verrière de son atelier nourrit « ses sensations colorantes ».
Copyright : Ana Drittanti
COLLECTIONS PUBLIQUES
21st Century Museum of Contemporary Art, Kanazawa, Japon • Musée national d’Art moderne – Centre Pompidou, Paris • Tel Aviv Museum of Art • Musée des Beaux-Arts, Caen • Musée de la ville de Toulon • Musée de l’Abbaye de Sainte-Croix, Les Sables d’Olonne • Fonds National d’Art Contemporain, Paris • Frac des Pays de la Loire • Frac Champagne-Ardenne • Frac Franche-Comté • Frac Île-de-France • Musée d’Art Moderne et de la Création Contemporaine, Toulouse • Musée d’Art Contemporain de Vitry-sur-Seine, Val-de-Marne • Auditorium de Flaine
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